- Saison 2021/2022 ,
- Saison 2022/2023 ,
- Saison 2023/2024
Née à Moscou, Marina Skalova émigre avec ses parents en France, puis en Allemagne. Après un Master de philosophie entre Paris et Berlin, elle s’installe en Suisse en 2013, où elle est diplômée d’un Master of Contemporary Arts Practice de la Haute école des Arts de Berne. Bien que sa langue maternelle soit le russe, ses langues d’écriture sont le français et, plus occasionnellement, l’allemand. Dans son écriture, aux multiples formes (poésie, théâtre…), Marina Skalova s’intéresse aux langues, au bilinguisme mais aussi à l’exil et au sentiment d’étrangeté. Après Exploration du flux (Seuil, 2018), paraît en 2020 Silences d’exils (Éditions d’en bas, 2020). Ce livre est né d’une collaboration avec la photographe Nadège Abadie et d’ateliers d’écriture avec des personnes exilées. En 2023, elle publie Trouer la brume du paradis chez Héros-limite (collection l’Ours Blanc), consacré à la poétesse punk sibérienne Yanka Diaghileva. Traductrice littéraire, elle a récemment traduit vers le français les poétesses russes Galina Rymbu et Lida Youssoupova, ainsi que le romancier biélorusse Sacha Filipenko. Elle participe au Littérature Live Festival en 2023 dans le cadre de la scène poétique ukrainienne, une lecture de textes d’écrivains vivant en Ukraine.
Légende et crédits photo : Soiree d'ouverture du Litterature Live Festival au Theatre de la Croix Rousse Lyon le 16 mai 2022
Née à Moscou, Marina Skalova émigre avec ses parents en France, puis en Allemagne. Après un Master de philosophie entre Paris et Berlin, elle s’installe en Suisse en 2013, où elle est diplômée d’un Master of Contemporary Arts Practice de la Haute école des Arts de Berne. Bien que sa langue maternelle soit le russe, ses langues d’écriture sont le français et, plus occasionnellement, l’allemand. Dans son écriture, aux multiples formes (poésie, théâtre…), Marina Skalova s’intéresse aux langues, au bilinguisme mais aussi à l’exil et au sentiment d’étrangeté. Après Exploration du flux (Seuil, 2018), paraît en 2020 Silences d’exils (Éditions d’en bas, 2020). Ce livre est né d’une collaboration avec la photographe Nadège Abadie et d’ateliers d’écriture avec des personnes exilées. En 2023, elle publie Trouer la brume du paradis chez Héros-limite (collection l’Ours Blanc), consacré à la poétesse punk sibérienne Yanka Diaghileva. Traductrice littéraire, elle a récemment traduit vers le français les poétesses russes Galina Rymbu et Lida Youssoupova, ainsi que le romancier biélorusse Sacha Filipenko. Elle participe au Littérature Live Festival en 2023 dans le cadre de la scène poétique ukrainienne, une lecture de textes d’écrivains vivant en Ukraine.