Sarinagara signifie cependant. Ce mot est le dernier d’un des plus célèbres poèmes de la littérature japonaise. Lorsqu’il l’écrit, Kobayashi Issa vient de perdre son unique enfant : oui, tout est néant, dit-il. Mais mystérieusement, Issa ajoute à son poème ce dernier mot dont il laisse la signification suspendue dans le vide.
L’énigme du mot sarinagara est l’objet du roman qui unit trois histoires : celles de Kobayashi Issa (1763-1827), le dernier des grands maîtres dans l’art du haïku, de Natsume Sôseki (1867-1916), l’inventeur du roman japonais moderne, et de Yamahata Yosuke (1917-1966), qui fut le premier à photographier les victimes et les ruines de Nagasaki.
Sarinagara signifie cependant. Ce mot est le dernier d’un des plus célèbres poèmes de la littérature japonaise. Lorsqu’il l’écrit, Kobayashi Issa vient de perdre son unique enfant : oui, tout est néant, dit-il. Mais mystérieusement, Issa ajoute à son poème ce dernier mot dont il laisse la signification suspendue dans le vide.
L’énigme du mot sarinagara est l’objet du roman qui unit trois histoires : celles de Kobayashi Issa (1763-1827), le dernier des grands maîtres dans l’art du haïku, de Natsume Sôseki (1867-1916), l’inventeur du roman japonais moderne, et de Yamahata Yosuke (1917-1966), qui fut le premier à photographier les victimes et les ruines de Nagasaki.