« Chacun a son histoire de maladie et de mort, chacun a ses pertes, ses images aux noires ramifications et qui ne pâlissent pas. Les morts ne sont jamais morts, ils ont leur place dans les premières phrases d’une rencontre, d’une discussion, ils sont assis dans les jardins, aux tables, devant les soupières, les corbeilles de pain blanc tranché, ils ordonnent, allons, parlez de moi à présent, ne baissez pas les bras, n’arrêtez pas de parler de moi. » Zsuzsa Bánk passe un dernier été auprès de son père qui va mourir. Histoires intime et politique se mêlent. À la fois infiniment pudique et très cru, d’une grande tendresse et d’une violence inouïe, un texte lumineux et bouleversant dont les effets rappellent ceux de « L’Année de la pensée magique » de Joan Didion.
« Chacun a son histoire de maladie et de mort, chacun a ses pertes, ses images aux noires ramifications et qui ne pâlissent pas. Les morts ne sont jamais morts, ils ont leur place dans les premières phrases d’une rencontre, d’une discussion, ils sont assis dans les jardins, aux tables, devant les soupières, les corbeilles de pain blanc tranché, ils ordonnent, allons, parlez de moi à présent, ne baissez pas les bras, n’arrêtez pas de parler de moi. » Zsuzsa Bánk passe un dernier été auprès de son père qui va mourir. Histoires intime et politique se mêlent. À la fois infiniment pudique et très cru, d’une grande tendresse et d’une violence inouïe, un texte lumineux et bouleversant dont les effets rappellent ceux de « L’Année de la pensée magique » de Joan Didion.