Après avoir fait des études de politique et de littérature à Mayence et à Washington, cette écrivaine allemande d’origine hongroise travaille comme journaliste avant de commencer une carrière de romancière. Ses romans esquissent les liens familiaux et amicaux entre des personnages souvent confrontés au poids de leur propre passé. Dans Le Nageur (Seuil, 2005. Trad. Olivier Mannoni) elle évoque ainsi l’errance d’un père et de ses deux enfants dans la Hongrie de 1956, tandis que L’Été le plus chaud (Christian Bourgois, 2007. Trad. Olivier Mannoni) recueille les douze récits hétéroclites de personnages qui se rejoignent autour des thèmes de la séparation ou des retrouvailles, de la rupture ou du départ. Dans son dernier roman, Mourir en été (trad. Olivier Mannoni, Rivages, 2022), l’autrice raconte le dernier été passé auprès de son père, mêlant l’intime au politique. Son oeuvre lui a valu de nombreux prix comme l’Aspekte Literatur-Preis ou le Deutsche Bücherpreis.
Après avoir fait des études de politique et de littérature à Mayence et à Washington, cette écrivaine allemande d’origine hongroise travaille comme journaliste avant de commencer une carrière de romancière. Ses romans esquissent les liens familiaux et amicaux entre des personnages souvent confrontés au poids de leur propre passé. Dans Le Nageur (Seuil, 2005. Trad. Olivier Mannoni) elle évoque ainsi l’errance d’un père et de ses deux enfants dans la Hongrie de 1956, tandis que L’Été le plus chaud (Christian Bourgois, 2007. Trad. Olivier Mannoni) recueille les douze récits hétéroclites de personnages qui se rejoignent autour des thèmes de la séparation ou des retrouvailles, de la rupture ou du départ. Dans son dernier roman, Mourir en été (trad. Olivier Mannoni, Rivages, 2022), l’autrice raconte le dernier été passé auprès de son père, mêlant l’intime au politique. Son oeuvre lui a valu de nombreux prix comme l’Aspekte Literatur-Preis ou le Deutsche Bücherpreis.