« Tout au long de ce livre défilent des sportifs exilés, des grands noms de l’art conceptuel, des infirmiers internationalistes, des musiciens célèbres ou underground, des poètes dissidents, des migrants qui traversent l’Amérique centrale, des fugitifs recherchés par le FBI, des sans domicile fixe et des suicidés, des revendeurs au marché noir, des balseros schizophrènes et les ivrognes, les flics et les travestis des nuits trépidantes de La Havane. Ces personnages dessinent un tableau que je livre tel quel. Je n’ai pas cherché à les y intégrer ou à ne pas les y intégrer, ni à démontrer à travers eux une thèse, ni à trouver dans leurs histoires un nouveau fil conducteur ou une marque de fabrique cubaine. C’est la mise en scène d’un pays. »
« Tout au long de ce livre défilent des sportifs exilés, des grands noms de l’art conceptuel, des infirmiers internationalistes, des musiciens célèbres ou underground, des poètes dissidents, des migrants qui traversent l’Amérique centrale, des fugitifs recherchés par le FBI, des sans domicile fixe et des suicidés, des revendeurs au marché noir, des balseros schizophrènes et les ivrognes, les flics et les travestis des nuits trépidantes de La Havane. Ces personnages dessinent un tableau que je livre tel quel. Je n’ai pas cherché à les y intégrer ou à ne pas les y intégrer, ni à démontrer à travers eux une thèse, ni à trouver dans leurs histoires un nouveau fil conducteur ou une marque de fabrique cubaine. C’est la mise en scène d’un pays. »