Après le succès de son James Stewart (Cahiers du cinéma, 2004), Jonathan Coe évoque avec justesse dans cet ouvrage la grandeur, le désespoir et la gloire de Humphrey Bogart.
Après le théâtre, puis une série de seconds rôles de gangsters au cinéma – à l’ombre de James Cagney et d’Edward G. Robinson -, la carrière de Bogart prend son essor avec La Grande évasion (Raoul Walsh, 1940). À John Huston, il doit sa métamorphose.
Après le succès de son James Stewart (Cahiers du cinéma, 2004), Jonathan Coe évoque avec justesse dans cet ouvrage la grandeur, le désespoir et la gloire de Humphrey Bogart.
Après le théâtre, puis une série de seconds rôles de gangsters au cinéma – à l’ombre de James Cagney et d’Edward G. Robinson -, la carrière de Bogart prend son essor avec La Grande évasion (Raoul Walsh, 1940). À John Huston, il doit sa métamorphose.