À la fin des années 1970, un jeune Américain, fils d’un Haïtien et d’une Portoricaine, recouvre les murs de Manhattan de phrases énigmatiques qu’il signe du nom de SAMO. Quatre ans plus tard, riche et célèbre, il invente un langage pictural d’une puissance inégalée, fait de corps, de mots, de rage. Jean-Michel Basquiat, aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands peintres du XXe siècle, devient ici, pour la première fois, un personnage de roman.
À la fin des années 1970, un jeune Américain, fils d’un Haïtien et d’une Portoricaine, recouvre les murs de Manhattan de phrases énigmatiques qu’il signe du nom de SAMO. Quatre ans plus tard, riche et célèbre, il invente un langage pictural d’une puissance inégalée, fait de corps, de mots, de rage. Jean-Michel Basquiat, aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands peintres du XXe siècle, devient ici, pour la première fois, un personnage de roman.