Chorégraphier, c’est sculpter l’atmosphère ; écrire l’espace entre les corps comme une matière, creuser l’air de nos présences, de nos mouvements, de nos densités variables. Chorégraphier — littéralement écrire le chœur — est une écriture de l’intervalle. Elle opère en médiateur d’entre-les-mondes. Elle fait passer d’un langage à l’autre, d’un milieu à l’autre, d’une réalité à l’autre. Elle fait se rencontrer les corps et s’entrechoquer les présences.
Atlas de nuit est une édition qui engage une série de réflexions théoriques et poétiques sur la chorégraphie, en explorant l’intervalle atmosphérique qui existe entre la danse et l’écriture. Embrassée par la métaphore de la nuit, la chorégraphie est imaginée dans sa dimension cosmologique, entre science, mythologie et intuition. Elle se déploie en une constellation d’installations et de performances gravitant les unes autour des autres : les Sismographies, STELLA, être ciel et Les voix lactées, immergeant le visiteur-spectateur dans un espace vivant et atmosphérique.
Plein d’invisible, de potentialité permanente, cet espace est infini et élastique. Il est la nuit qui précède au jour et lui succède en même-temps. La nuit qui existe derrière le jour. La nuit derrière ce texte. La nuit entre les astres et les corps dansants.
Chorégraphier, c’est sculpter l’atmosphère ; écrire l’espace entre les corps comme une matière, creuser l’air de nos présences, de nos mouvements, de nos densités variables. Chorégraphier — littéralement écrire le chœur — est une écriture de l’intervalle. Elle opère en médiateur d’entre-les-mondes. Elle fait passer d’un langage à l’autre, d’un milieu à l’autre, d’une réalité à l’autre. Elle fait se rencontrer les corps et s’entrechoquer les présences.
Atlas de nuit est une édition qui engage une série de réflexions théoriques et poétiques sur la chorégraphie, en explorant l’intervalle atmosphérique qui existe entre la danse et l’écriture. Embrassée par la métaphore de la nuit, la chorégraphie est imaginée dans sa dimension cosmologique, entre science, mythologie et intuition. Elle se déploie en une constellation d’installations et de performances gravitant les unes autour des autres : les Sismographies, STELLA, être ciel et Les voix lactées, immergeant le visiteur-spectateur dans un espace vivant et atmosphérique.
Plein d’invisible, de potentialité permanente, cet espace est infini et élastique. Il est la nuit qui précède au jour et lui succède en même-temps. La nuit qui existe derrière le jour. La nuit derrière ce texte. La nuit entre les astres et les corps dansants.