- Performance
Maïte Álvarez est une chorégraphe et artiste visuelle installée à Bruxelles. Son travail explore la porosité des correspondances entre danse et graphisme. Elle envisage la chorégraphie comme un espace d’écriture des corps et voit, dans l’image et la graphie, la pure potentialité du mouvement. À travers ces questions, elle présente deux premières expositions personnelles, Paraboles Chorégraphiques, au FRAC Grand Large en 2014 puis au Centre Chorégraphique National d’Orléans en 2016.
Formée initialement au graphisme à la Haute École des Arts du Rhin–École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg (DNSEP, 2012), elle est diplômée d’un master en arts performatifs et chorégraphiques au sein de l’Académie Royale des Beaux–Arts de Bruxelles (ISAC) dont elle est lauréate en 2018.
Elle développe sa première création chorégraphique, STELLA (prix de la ville 2018) puis rédige et édite son mémoire de recherche Atlas de Nuit dans lequel elle développe la question de l’intervalle entre danse et écriture dans la chorégraphie. Cette approche cosmologique et poétique de la chorégraphie constitue le noyau central de sa recherche actuelle, présentée sous la forme d‘une exposition personnelle au FRAC Provence–Alpes–Côte d’Azur (2020–2021).
Pas de livre pour le moment
Maïte Álvarez est une chorégraphe et artiste visuelle installée à Bruxelles. Son travail explore la porosité des correspondances entre danse et graphisme. Elle envisage la chorégraphie comme un espace d’écriture des corps et voit, dans l’image et la graphie, la pure potentialité du mouvement. À travers ces questions, elle présente deux premières expositions personnelles, Paraboles Chorégraphiques, au FRAC Grand Large en 2014 puis au Centre Chorégraphique National d’Orléans en 2016.
Formée initialement au graphisme à la Haute École des Arts du Rhin–École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg (DNSEP, 2012), elle est diplômée d’un master en arts performatifs et chorégraphiques au sein de l’Académie Royale des Beaux–Arts de Bruxelles (ISAC) dont elle est lauréate en 2018.
Elle développe sa première création chorégraphique, STELLA (prix de la ville 2018) puis rédige et édite son mémoire de recherche Atlas de Nuit dans lequel elle développe la question de l’intervalle entre danse et écriture dans la chorégraphie. Cette approche cosmologique et poétique de la chorégraphie constitue le noyau central de sa recherche actuelle, présentée sous la forme d‘une exposition personnelle au FRAC Provence–Alpes–Côte d’Azur (2020–2021).