- Conversation
Professeure, essayiste et romancière québécoise, Martine Delvaux enseigne la littérature des femmes et les théories féministes. Ses romans comme Blanc dehors (Héliotrope, 2015) ou Rose amer (Héliotrope, 2009) adoptent des points de vue féminins sur la violence du quotidien ou les non-dits intimes. C’est d’une autre manière que ceux-ci sont exposés dans ses essais comme Le Boys Club (éditions du Remue Ménage, 2019) qui lui vaut Grand Prix du Livre de Montréal 2020, ou dans Je n’en ai jamais parlé à personne (Héliotrope, 2020), recueil de témoignages de la vague #MoiAussi. Sa dernière publication, Pompières et Pyromanes (Héliotrope, 2021), prend l’embrasement comme fil conducteur et rapproche les histoires de femmes militantes ou victimes autour du thème du feu.
Professeure, essayiste et romancière québécoise, Martine Delvaux enseigne la littérature des femmes et les théories féministes. Ses romans comme Blanc dehors (Héliotrope, 2015) ou Rose amer (Héliotrope, 2009) adoptent des points de vue féminins sur la violence du quotidien ou les non-dits intimes. C’est d’une autre manière que ceux-ci sont exposés dans ses essais comme Le Boys Club (éditions du Remue Ménage, 2019) qui lui vaut Grand Prix du Livre de Montréal 2020, ou dans Je n’en ai jamais parlé à personne (Héliotrope, 2020), recueil de témoignages de la vague #MoiAussi. Sa dernière publication, Pompières et Pyromanes (Héliotrope, 2021), prend l’embrasement comme fil conducteur et rapproche les histoires de femmes militantes ou victimes autour du thème du feu.