Hisham Matar est un écrivain britannique d’origine libyenne, né le 9 juillet 1970 à New York. Il grandit en Amérique puis passe les six années suivantes en Libye avec sa famille. En raison de persécutions politiques du régime Kadhafi, en 1979, il est contraint de fuir et s’exile en Égypte. En 1986, Hisham Matar s’installe à Londres où il poursuit ses études. Il publie son premier roman, Au pays des hommes, aux éditions Penguin books en 2006, traduit en 28 langues dont la version française parut en 2011 (Points, trad. Johan-Frédérik Hel-Guedj). Ce livre, qui évoque la Libye sous le régime de Kadhafi, lui vaut une reconnaissance internationale, notamment une nomination pour le Booker Prize. Il publie son second roman, Anatomie d’une disparition, en 2017 (Gallimard, trad. Sarah Gurcel), puis publie ses mémoires la même année dans La terre qui les sépare (Gallimard, trad. Agnès Desarthe), récompensé par le premier Prix du Livre Etranger France Inter – Le Journal du Dimanche. Son dernier roman Mes amis, paru en 2024 (Gallimard, trad. David Fauquemberg), porte sur l’amitié entre trois expatriés libyens vivant à Londres et explore avec délicatesse le conflit intérieur lié à chaque exil.
Légende et crédits photo : Litterature Live Festival 2014 jour 1 Villa Gillet le 21 mai 2024
Hisham Matar est un écrivain britannique d’origine libyenne, né le 9 juillet 1970 à New York. Il grandit en Amérique puis passe les six années suivantes en Libye avec sa famille. En raison de persécutions politiques du régime Kadhafi, en 1979, il est contraint de fuir et s’exile en Égypte. En 1986, Hisham Matar s’installe à Londres où il poursuit ses études. Il publie son premier roman, Au pays des hommes, aux éditions Penguin books en 2006, traduit en 28 langues dont la version française parut en 2011 (Points, trad. Johan-Frédérik Hel-Guedj). Ce livre, qui évoque la Libye sous le régime de Kadhafi, lui vaut une reconnaissance internationale, notamment une nomination pour le Booker Prize. Il publie son second roman, Anatomie d’une disparition, en 2017 (Gallimard, trad. Sarah Gurcel), puis publie ses mémoires la même année dans La terre qui les sépare (Gallimard, trad. Agnès Desarthe), récompensé par le premier Prix du Livre Etranger France Inter – Le Journal du Dimanche. Son dernier roman Mes amis, paru en 2024 (Gallimard, trad. David Fauquemberg), porte sur l’amitié entre trois expatriés libyens vivant à Londres et explore avec délicatesse le conflit intérieur lié à chaque exil.