- Conversation
Autrice de plusieurs ouvrages récompensés par des prix prestigieux en Italie, Cristina Cattaneo est médecin légiste. Son visage est familier aux italiens qui la voient à l’œuvre aussi bien après une catastrophe naturelle qu’un assassinat mafieux, ou encore lorsqu’elle pratique, comme tout récemment à Milan, une autopsie à partir des reliques de Saint Ambroise.
Elle est aussi et surtout à l’origine d’une loi votée par le Parlement italien, la première en Europe, prévoyant la mise en place d’une base de données (RISC) qui permet de réunir les informations sur les personnes disparues et les « morts sans nom ».
Légende et crédits photo : TO GO WITH AFP STORY BY ELLA IDE - Cristina Cattaneo (C) head of the Labanof Forensic Pathology laboratory and her team prepare to perform autopsies on bodies of migrants or refugees recovered after an April shipwreck in which 800 people are believed to have drowned trying to cross the mediterranean to reach Europe, on November 5, 2015 at Marisicilia military Base in Melilli, Sicily. The military base hosts forensic medics of the Labanof Forensic Pathology laboratory, which specialises in identifying decomposed, burned or mutilated remains, who perform autopsies to make a database where DNA and other distinguishing features can be catalogued, allowing relatives in other EU countries or family members back home to find their dead. Since the first largescale wrecks off Lampedusa in 2013, Italy has been looking at ways to name those who had been fleeing war, poverty or persecution in places as far flung as Sub-Saharan Africa, Pakistan or Syria. AFP PHOTO / MARCELLO PATERNOSTRO (Photo by MARCELLO PATERNOSTRO / AFP)
Autrice de plusieurs ouvrages récompensés par des prix prestigieux en Italie, Cristina Cattaneo est médecin légiste. Son visage est familier aux italiens qui la voient à l’œuvre aussi bien après une catastrophe naturelle qu’un assassinat mafieux, ou encore lorsqu’elle pratique, comme tout récemment à Milan, une autopsie à partir des reliques de Saint Ambroise.
Elle est aussi et surtout à l’origine d’une loi votée par le Parlement italien, la première en Europe, prévoyant la mise en place d’une base de données (RISC) qui permet de réunir les informations sur les personnes disparues et les « morts sans nom ».