En juin, le projet Cartel sonore est entré dans sa deuxième phase. Après l’écriture, place à la création sonore : un travail mené par les participant·es au côté du Studio Vago, en collaboration avec le Monastère royal de Brou et le Centre psychothérapique de l’Ain.
À partir des textes imaginés lors des ateliers animés par l’autrice Valentine Goby, les participant·es explorent désormais la mise en voix. Chaque fiction fait l’objet d’une réécriture pensée pour l’oralité : comment sonne le texte à l’oreille ? Quelle musique s’en dégage ? Comment faire exister les personnages par la seule force de la voix ?
Pour enrichir ces enregistrements, les participants créent aussi des paysages sonores en studio ou en extérieur : le vent dans les arbres, le grincement d’une porte, des pas sur l’herbe – des sons parfois reproduits avec des objets et un peu d’imagination grâce aux techniques des bruiteurs. Enfin, un musicien intervient pour imaginer une bande-son originale avec les participant.es.
Objectif : faire naître des œuvres sonores pleinement immersives, qui entreront bientôt en résonance avec les collections du Monastère royal de Brou. À partir du 17 octobre, les visiteur·euses pourront découvrir ces créations in situ, au détour d’un tableau ou d’une sculpture, en scannant un QR code sur un cartel.
Une autre manière d’habiter un musée. Une autre manière d’écouter les œuvres.
En juin, le projet Cartel sonore est entré dans sa deuxième phase. Après l’écriture, place à la création sonore : un travail mené par les participant·es au côté du Studio Vago, en collaboration avec le Monastère royal de Brou et le Centre psychothérapique de l’Ain.
À partir des textes imaginés lors des ateliers animés par l’autrice Valentine Goby, les participant·es explorent désormais la mise en voix. Chaque fiction fait l’objet d’une réécriture pensée pour l’oralité : comment sonne le texte à l’oreille ? Quelle musique s’en dégage ? Comment faire exister les personnages par la seule force de la voix ?
Pour enrichir ces enregistrements, les participants créent aussi des paysages sonores en studio ou en extérieur : le vent dans les arbres, le grincement d’une porte, des pas sur l’herbe – des sons parfois reproduits avec des objets et un peu d’imagination grâce aux techniques des bruiteurs. Enfin, un musicien intervient pour imaginer une bande-son originale avec les participant.es.
Objectif : faire naître des œuvres sonores pleinement immersives, qui entreront bientôt en résonance avec les collections du Monastère royal de Brou. À partir du 17 octobre, les visiteur·euses pourront découvrir ces créations in situ, au détour d’un tableau ou d’une sculpture, en scannant un QR code sur un cartel.
Une autre manière d’habiter un musée. Une autre manière d’écouter les œuvres.