« Raconter des histoires, c’est raconter des mensonges », tel était le refrain obsessionnel de l’écrivain britannique B.S. Johnson (1933-1973), adepte d’une écriture-vérité au service d’une sincérité absolue et d’une mise à nu des sentiments, admirateur du Nouveau Roman et fervent défenseur d’innovations formelles de tous ordres qu’il mit en pratique dans des ouvrage aussi poignants et insolites que Albert Angelo, Chalut, Les Malchanceux, Christie Malry règle ses comptes ou R.A.S. Infirmière-Chef.
« Raconter des histoires, c’est raconter des mensonges », tel était le refrain obsessionnel de l’écrivain britannique B.S. Johnson (1933-1973), adepte d’une écriture-vérité au service d’une sincérité absolue et d’une mise à nu des sentiments, admirateur du Nouveau Roman et fervent défenseur d’innovations formelles de tous ordres qu’il mit en pratique dans des ouvrage aussi poignants et insolites que Albert Angelo, Chalut, Les Malchanceux, Christie Malry règle ses comptes ou R.A.S. Infirmière-Chef.