Gilles Raynaldy a photographié la « Jungle de Calais » au fil des neuf mois précédant l’évacuation des réfugiés qui y étaient installés, entre février et octobre 2016. Dans le récit en forme de journal qui ponctue les images, il raconte son expérience d’étranger accueilli par les habitants d’un camp devenu, avec le concours de nombreux bénévoles, un lieu de vie commune, malgré la précarité et la répression.
Gilles Raynaldy a photographié la « Jungle de Calais » au fil des neuf mois précédant l’évacuation des réfugiés qui y étaient installés, entre février et octobre 2016. Dans le récit en forme de journal qui ponctue les images, il raconte son expérience d’étranger accueilli par les habitants d’un camp devenu, avec le concours de nombreux bénévoles, un lieu de vie commune, malgré la précarité et la répression.