Comment imaginer aujourd’hui le destin d’une jeune femme née dans une ferme en 1889, dans la misère la plus noire ? Elle s’appelle Zulma, surnommée Vairon à cause de ses yeux dépareillés. Elle quitte sa mère et débarque affamée à vingt ans dans Paris, en 1909, avec déjà un premier bébé dans ses bras. Elle fait la découverte des quartiers déshérités de la capitale, et de son peuple. Mais aussi des idées révolutionnaires qui agitent l’Europe. On assiste, sur un rythme brutal, à son éducation sexuelle, politique, existentielle.
Comment imaginer aujourd’hui le destin d’une jeune femme née dans une ferme en 1889, dans la misère la plus noire ? Elle s’appelle Zulma, surnommée Vairon à cause de ses yeux dépareillés. Elle quitte sa mère et débarque affamée à vingt ans dans Paris, en 1909, avec déjà un premier bébé dans ses bras. Elle fait la découverte des quartiers déshérités de la capitale, et de son peuple. Mais aussi des idées révolutionnaires qui agitent l’Europe. On assiste, sur un rythme brutal, à son éducation sexuelle, politique, existentielle.