Lucie Taïeb, pour sa première création, choisit une forme fragmentée pour mieux faire se croiser les voix de plusieurs personnages qui s’adressent à un être cher absent. La mort, la disparition et l’exil se côtoient dans ces appels où le manque cède parfois la place à la violence de l’incompréhension. Sidonie Mangin a choisi la gravure pour accompagner ces errances. Les figures qu’elle déploie, narratives et mystérieuses, font ainsi écho à l’atmosphère fuyante du texte.
Lucie Taïeb, pour sa première création, choisit une forme fragmentée pour mieux faire se croiser les voix de plusieurs personnages qui s’adressent à un être cher absent. La mort, la disparition et l’exil se côtoient dans ces appels où le manque cède parfois la place à la violence de l’incompréhension. Sidonie Mangin a choisi la gravure pour accompagner ces errances. Les figures qu’elle déploie, narratives et mystérieuses, font ainsi écho à l’atmosphère fuyante du texte.