maison internationale
des écritures contemporaines

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Tosca

Emmanuelle Collas éditions
2024

Lyon, 28 juin 1944. Sept Juifs et deux résistants raflés par la milice de Paul Touvier attendent la mort dans un placard de 5 m par 90 cm au siège des miliciens dans les locaux réquisitionnés du lycée Saint-Marc. Ils confient aux murs de leur prison tout ce qu’ils sont, tout ce qu’ils souhaitent, tout ce qu’ils auraient rêvé être. Parmi eux, un homme que le résistant P’tit Louis désigna comme un ange – celui qui, cette nuit-là, chanta Tosca, l’opéra de Puccini, l’air de celui qui va mourir à l’aube.
« Cette histoire commence pour moi il y a trente ans le 29 mars 1994, le jour où ma route a croisé celle de ce jeune homme pour la première fois, au procès de Paul Touvier auquel j’assistais en tant que journaliste. On ne savait rien de cette septième victime. On ne disposait que de la photo légèrement floue d’un visage aux yeux clos. Dans cette cour d’assises, on l’appelait le plus souvent l’inconnu ou parfois Tosca.
C’est là que j’ai décidé de le retrouver. Pour lui rendre son nom. Pour qu’enfin il puisse exister avant de mourir. Pour qu’une tombe soit refermée ». – Murielle Szac

résistance, guerre

Tosca

Emmanuelle Collas éditions
2024

Lyon, 28 juin 1944. Sept Juifs et deux résistants raflés par la milice de Paul Touvier attendent la mort dans un placard de 5 m par 90 cm au siège des miliciens dans les locaux réquisitionnés du lycée Saint-Marc. Ils confient aux murs de leur prison tout ce qu’ils sont, tout ce qu’ils souhaitent, tout ce qu’ils auraient rêvé être. Parmi eux, un homme que le résistant P’tit Louis désigna comme un ange – celui qui, cette nuit-là, chanta Tosca, l’opéra de Puccini, l’air de celui qui va mourir à l’aube.
« Cette histoire commence pour moi il y a trente ans le 29 mars 1994, le jour où ma route a croisé celle de ce jeune homme pour la première fois, au procès de Paul Touvier auquel j’assistais en tant que journaliste. On ne savait rien de cette septième victime. On ne disposait que de la photo légèrement floue d’un visage aux yeux clos. Dans cette cour d’assises, on l’appelait le plus souvent l’inconnu ou parfois Tosca.
C’est là que j’ai décidé de le retrouver. Pour lui rendre son nom. Pour qu’enfin il puisse exister avant de mourir. Pour qu’une tombe soit refermée ». – Murielle Szac

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