Tout oppose, a priori, l’écrivain et le businessman. L’un incarne (ou le croit) la soif d’absolu, le goût de l’inutile, l’esprit de révolte. L’autre, la brutalité affairiste, l’accumulation avide et le désir violent de dominer.
Qu’advient-il lorsque l’un se met au service de l’autre ? Lorsque l’écrivain accepte d’écrire la biographie, forcément élogieuse, du businessman ? Quelles fascinations s’exercent ? Quelles complicités se lient ? De quelles abdications se paient-elles ? Jusqu’où et jusqu’à quand peut-on, sans se renier, se compromettre ?
Tout oppose, a priori, l’écrivain et le businessman. L’un incarne (ou le croit) la soif d’absolu, le goût de l’inutile, l’esprit de révolte. L’autre, la brutalité affairiste, l’accumulation avide et le désir violent de dominer.
Qu’advient-il lorsque l’un se met au service de l’autre ? Lorsque l’écrivain accepte d’écrire la biographie, forcément élogieuse, du businessman ? Quelles fascinations s’exercent ? Quelles complicités se lient ? De quelles abdications se paient-elles ? Jusqu’où et jusqu’à quand peut-on, sans se renier, se compromettre ?