Il arpente campagne, forêts et bitume ; il hume, écoute, observe. Réinstallé dans le village de son enfance, il fréquente une poignée de paysans, s’occupe de Cyril, son filleul, s’éprend de Claire, bricole des meubles.
Il parle peu, parle mal. La modernité et l’urbanisation de sa contrée le rongent. Quant au chantier qui s’érige non loin, il en a peur. Mais ce molosse le subjugue aussi, le hante et l’emplit d’une étrange colère.
Dans une langue traversée d’oralité, Parti voir les bêtes parle d’un amour sans bornes pour une terre condamnée à disparaître. Ce roman fait entrer dans le regard de ceux qui éprouvent sans protection la beauté du monde.
Il arpente campagne, forêts et bitume ; il hume, écoute, observe. Réinstallé dans le village de son enfance, il fréquente une poignée de paysans, s’occupe de Cyril, son filleul, s’éprend de Claire, bricole des meubles.
Il parle peu, parle mal. La modernité et l’urbanisation de sa contrée le rongent. Quant au chantier qui s’érige non loin, il en a peur. Mais ce molosse le subjugue aussi, le hante et l’emplit d’une étrange colère.
Dans une langue traversée d’oralité, Parti voir les bêtes parle d’un amour sans bornes pour une terre condamnée à disparaître. Ce roman fait entrer dans le regard de ceux qui éprouvent sans protection la beauté du monde.