Quelque chose a changé dans notre sensibilité. Nous ne souffrons plus la souffrance des animaux. Et la séparation entre nous et eux à l’épreuve de laquelle nous avions édifié la certitude de notre identité se défait. L’humanité ne parvient plus à se contenir en elle-même. Elle déborde comme un vase trop plein et s’écoule vers d’autres formes de vie. Pour comprendre ce bouleversement, un retour au philosophe Jeremy Bentham s’impose.
Quelque chose a changé dans notre sensibilité. Nous ne souffrons plus la souffrance des animaux. Et la séparation entre nous et eux à l’épreuve de laquelle nous avions édifié la certitude de notre identité se défait. L’humanité ne parvient plus à se contenir en elle-même. Elle déborde comme un vase trop plein et s’écoule vers d’autres formes de vie. Pour comprendre ce bouleversement, un retour au philosophe Jeremy Bentham s’impose.