«Tous ces hommes qui me parlent. Fils, mari, père, amis, écrivains morts et vivants. Une litanie de mots, d’heures effacées et revécues, de bonheurs révolus, de tendresses éclopées. Je suis offerte à la parole des homme. Parce que je suis femme.»
Ce récit autobiographique est une méditation sur l’existence, l’écriture, l’amour et la maternité, l’éducation, la solitude. Ananda Devi y évoque des souvenirs d’enfance, ses débuts en écriture, l’emprise de ces êtres dont l’amour, parfois, peut être une tyrannie. Alors vient l’envie de ne plus écouter ces hommes qui la musellent depuis si longtemps et de partir en brisant tout, comme le font souvent les personnages féminins de ses romans.
«Toutes les femmes de mes livres me l’ont dit : affranchis-toi. C’était le message que je m’adressais. Et je ne m’écoutais pas.»
«Tous ces hommes qui me parlent. Fils, mari, père, amis, écrivains morts et vivants. Une litanie de mots, d’heures effacées et revécues, de bonheurs révolus, de tendresses éclopées. Je suis offerte à la parole des homme. Parce que je suis femme.»
Ce récit autobiographique est une méditation sur l’existence, l’écriture, l’amour et la maternité, l’éducation, la solitude. Ananda Devi y évoque des souvenirs d’enfance, ses débuts en écriture, l’emprise de ces êtres dont l’amour, parfois, peut être une tyrannie. Alors vient l’envie de ne plus écouter ces hommes qui la musellent depuis si longtemps et de partir en brisant tout, comme le font souvent les personnages féminins de ses romans.
«Toutes les femmes de mes livres me l’ont dit : affranchis-toi. C’était le message que je m’adressais. Et je ne m’écoutais pas.»