Loin d’incarner les seules valeurs de douceur, d’amour, d’angélisme, de générosité, la femme reste aussi, dans l’imaginaire collectif, une créature mystérieuse et inquiétante, « tout entière taboue », disait Freud. Dénoncée comme fatale, poursuivie comme sorcière, porteuse de déchéance et de mort. Sa beauté, le désir qu’elle inspire, sa capacité d’enfanter en font une puissance symbolique, un monstre impossible à vaincre sans mourir soi-même.
Loin d’incarner les seules valeurs de douceur, d’amour, d’angélisme, de générosité, la femme reste aussi, dans l’imaginaire collectif, une créature mystérieuse et inquiétante, « tout entière taboue », disait Freud. Dénoncée comme fatale, poursuivie comme sorcière, porteuse de déchéance et de mort. Sa beauté, le désir qu’elle inspire, sa capacité d’enfanter en font une puissance symbolique, un monstre impossible à vaincre sans mourir soi-même.