L’apocalypse-cinéma, ce n’est pas seulement la fin des temps si souvent donnée à voir récemment, à grand renfort d’effets spéciaux. Le philosophe Peter Szendy avance l’hypothèse que c’est aussi sa propre limite que le cinéma travaille et affronte là : l’apocalypse-cinéma, c’est à la fois, d’un même et terrible coup double, la fin du monde et la fin du film. Il décrit les figures de ces deux fins en une : le compte à rebours, l’aveuglement, la radiation, le gel, la fêlure, la déchirure sismique… Autant de prétextes pour mettre en scène le cinéma lui-même […].
L’apocalypse-cinéma, ce n’est pas seulement la fin des temps si souvent donnée à voir récemment, à grand renfort d’effets spéciaux. Le philosophe Peter Szendy avance l’hypothèse que c’est aussi sa propre limite que le cinéma travaille et affronte là : l’apocalypse-cinéma, c’est à la fois, d’un même et terrible coup double, la fin du monde et la fin du film. Il décrit les figures de ces deux fins en une : le compte à rebours, l’aveuglement, la radiation, le gel, la fêlure, la déchirure sismique… Autant de prétextes pour mettre en scène le cinéma lui-même […].