Climax est un média trimestriel papier de 116 pages sans pub qui raconte la révolution climatique en cours avec franc-parler, impertinence et humour. Il ne contient aucune courbe anxiogène sur le réchauffement climatique, aucun discours inspirant de sociologue-star, et aucun « top des 10 start-up qui vont nous sauver ». Mais au contraire, des tribunes impertinentes, des entretiens qui fâchent, des enquêtes bien trempées, des BD drôles et décalées, des portfolios d’artistes délurés, et même une recette de cuisine, pour parler d’écologie autrement. Le dossier central de ce premier numéro s’intitule « Apocalypse PAS Now » et explore l’univers délicieux des solar punks, ces utopistes mi-fleur bleue, mi-anticapitalistes. Notre pari : permettre à tout le monde de s’approprier les questions écologiques à travers l’humour, le sarcasme et la colère. C’est bien connu, le changement climatique file des sueurs froides et l’extinction de la biodiversité colle le bourdon. Alors essayons d’en rire parce que ça voudra dire qu’on aura déjà un peu gagné. Est-ce que demain tout va s’effondrer ? Peut-être, peut-être pas. En attendant, on est bien décidés à ne pas se laisser assommer. Avec un peu de chance, on réalisera que la marche du monde nous appartient encore un peu. Et alors on pourra enfin s’autoriser à crier : APOCALYPSE, PAS NOW ! Et aussi, au sommaire : – Interview de Bon Pote : Que peuvent les influenceurs pour le climat ? – Analyse : Qui veut la peau des médias écolos ? – À la découverte du permacomputing – Interview de Justine Reix : Dans les coulisses du ministère de l’écologie –Tutoriel pour un syndicalisme moderne – Cahier de coloriage garanti sans mandalas – Portfolio d’oeuvres d’artistes engagé·es – Horoscope décalé – BD « 24h dans la peau d’un survivaliste » – Les 7 familles du greenwashing – Compensation carbone : l’arbre qui cache les gorets – Interview d’Éloi Laurent : La « raison économique » est-elle irrationnelle ? …
Climax est un média trimestriel papier de 116 pages sans pub qui raconte la révolution climatique en cours avec franc-parler, impertinence et humour. Il ne contient aucune courbe anxiogène sur le réchauffement climatique, aucun discours inspirant de sociologue-star, et aucun « top des 10 start-up qui vont nous sauver ». Mais au contraire, des tribunes impertinentes, des entretiens qui fâchent, des enquêtes bien trempées, des BD drôles et décalées, des portfolios d’artistes délurés, et même une recette de cuisine, pour parler d’écologie autrement. Le dossier central de ce premier numéro s’intitule « Apocalypse PAS Now » et explore l’univers délicieux des solar punks, ces utopistes mi-fleur bleue, mi-anticapitalistes. Notre pari : permettre à tout le monde de s’approprier les questions écologiques à travers l’humour, le sarcasme et la colère. C’est bien connu, le changement climatique file des sueurs froides et l’extinction de la biodiversité colle le bourdon. Alors essayons d’en rire parce que ça voudra dire qu’on aura déjà un peu gagné. Est-ce que demain tout va s’effondrer ? Peut-être, peut-être pas. En attendant, on est bien décidés à ne pas se laisser assommer. Avec un peu de chance, on réalisera que la marche du monde nous appartient encore un peu. Et alors on pourra enfin s’autoriser à crier : APOCALYPSE, PAS NOW ! Et aussi, au sommaire : – Interview de Bon Pote : Que peuvent les influenceurs pour le climat ? – Analyse : Qui veut la peau des médias écolos ? – À la découverte du permacomputing – Interview de Justine Reix : Dans les coulisses du ministère de l’écologie –Tutoriel pour un syndicalisme moderne – Cahier de coloriage garanti sans mandalas – Portfolio d’oeuvres d’artistes engagé·es – Horoscope décalé – BD « 24h dans la peau d’un survivaliste » – Les 7 familles du greenwashing – Compensation carbone : l’arbre qui cache les gorets – Interview d’Éloi Laurent : La « raison économique » est-elle irrationnelle ? …