Un an après l’entrée en fonction d’un nouveau président, qui avait promis, comme il se doit, «le changement», de larges secteurs du monde politique et journalistique s’efforcent, contre toutes les évidences, de remiser le racisme d’État au rayon des vieilleries.
Un an après l’entrée en fonction d’un nouveau président, qui avait promis, comme il se doit, «le changement», de larges secteurs du monde politique et journalistique s’efforcent, contre toutes les évidences, de remiser le racisme d’État au rayon des vieilleries.