Entre 2005 et 2012, Lucille Calmel cueille en ligne amoureusement et compulsivement textes, liens, codes, jpg png, gifs ascii emojis… pour les composer en emailings envoyés sur des groupes préfacebook ainsi qu’à des dizaines de milliers d’adresses prélevées en cc… ; emailings également compilés en un long scroll horizontal de 8 heures lors du festival OPEN des scènes virtuelles au théâtre Paris-Villette en 2011 et imprimés en lais de 5 à 15 mètres lors de sa rétrospective digitale en 2015 au centre Puertas de Castilla à Murcia (ES).
En parallèle, avec sa performance DATA.me, Damien Petitot mène en 2013 une expérimentation qui croise érotisme et distance, code et texte, données et désordre, représentation et détériorations, dans le contexte de la nouvelle intimité que l’on partage avec les ordinateurs (madeleine aktypi).
De ces communs, Lucille laisse à Damien le soin de revenir sur ces navigations brodées-liées, marquant un temps de l’internet.
Entre 2005 et 2012, Lucille Calmel cueille en ligne amoureusement et compulsivement textes, liens, codes, jpg png, gifs ascii emojis… pour les composer en emailings envoyés sur des groupes préfacebook ainsi qu’à des dizaines de milliers d’adresses prélevées en cc… ; emailings également compilés en un long scroll horizontal de 8 heures lors du festival OPEN des scènes virtuelles au théâtre Paris-Villette en 2011 et imprimés en lais de 5 à 15 mètres lors de sa rétrospective digitale en 2015 au centre Puertas de Castilla à Murcia (ES).
En parallèle, avec sa performance DATA.me, Damien Petitot mène en 2013 une expérimentation qui croise érotisme et distance, code et texte, données et désordre, représentation et détériorations, dans le contexte de la nouvelle intimité que l’on partage avec les ordinateurs (madeleine aktypi).
De ces communs, Lucille laisse à Damien le soin de revenir sur ces navigations brodées-liées, marquant un temps de l’internet.