En entremêlant le français, l’anglais, et l’arabe, Tarek Lakhrissi propose dans cette œuvre une errance à travers les langues, l’amour et l’identité. L’artiste prend pour point de départ le langage et la littérature qu’il remploie tant dans ses vidéos, ses écrits, ses performances et ses installations.
« Un jour, Vincent Honoré, accompagné plus tard de Cédric Fauq, m’a écrit pour en savoir plus sur mes textes. Il a fini par me proposer une carte blanche en m’invitant à la Baltic Triennial Give up the Ghost, à Vilnius (Lituanie), qui s’est révélée être ma première exposition « officielle ». Assez stimulé de commencer avec cette idée d’abandon, d’un nouveau monde à écrire, et de penser ma pratique à partir des mots, j’ai réalisé un deuxième film, plus court et plus expérimental, basé sur le langage et sur une rupture amoureuse, intitulé Hard to Love (2017) »
En entremêlant le français, l’anglais, et l’arabe, Tarek Lakhrissi propose dans cette œuvre une errance à travers les langues, l’amour et l’identité. L’artiste prend pour point de départ le langage et la littérature qu’il remploie tant dans ses vidéos, ses écrits, ses performances et ses installations.
« Un jour, Vincent Honoré, accompagné plus tard de Cédric Fauq, m’a écrit pour en savoir plus sur mes textes. Il a fini par me proposer une carte blanche en m’invitant à la Baltic Triennial Give up the Ghost, à Vilnius (Lituanie), qui s’est révélée être ma première exposition « officielle ». Assez stimulé de commencer avec cette idée d’abandon, d’un nouveau monde à écrire, et de penser ma pratique à partir des mots, j’ai réalisé un deuxième film, plus court et plus expérimental, basé sur le langage et sur une rupture amoureuse, intitulé Hard to Love (2017) »