« Mon travail se décline dans des formes variées qui se côtoient, s’opposent et s’entremêlent : documentaire, fiction, autobiographie, fantaisie et onirisme. Je cherche une rencontre possible entre les opposés et une narration faite d’assemblages, de collages, d’accidents et d’imprévus. J’explore l’intime, le politique, le poétique et le mystique ; le nord, le sud, l’est et l’ouest ; le féminin, le masculin, le divin et le diabolique, les mondes intérieur et extérieur…
Le défi de la résidence à la Villa Gillet est pour moi de transposer mon travail imprimé sur les vitres de la Villa dans un nouveau montage. Il est aussi de recomposer un nouveau récit qui traverse et mélange différentes œuvres avec des fragments d’images et de textes de mes divers travaux, y compris celui en cours La sieste du matin. Il est aussi dans la reproduction des images et textes sur une surface transparente et donc visible aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur. L’espace induit une lecture différente de celle du livre. Une lecture qui se fait des deux côtés, en tournant la tête plutôt que les pages, dans tous les sens possibles et selon des lignes suggérées ou aléatoires…
L’image principale à partir de laquelle je voudrais composer est celle d’un personnage nu couché sur le sol. C’est un extrait de mon livre en cours La sieste du matin. Un texte accompagne cette image : « Sur la route, je suis passée à côté d’un Hammam. J’ai vu un homme couché sur le sol. Il dormait paisiblement. L’eau coulait en dessous de lui… ». Cette image représente une forme d’aboutissement et une paix qui résulte de la conjonction des opposés. »
« Mon travail se décline dans des formes variées qui se côtoient, s’opposent et s’entremêlent : documentaire, fiction, autobiographie, fantaisie et onirisme. Je cherche une rencontre possible entre les opposés et une narration faite d’assemblages, de collages, d’accidents et d’imprévus. J’explore l’intime, le politique, le poétique et le mystique ; le nord, le sud, l’est et l’ouest ; le féminin, le masculin, le divin et le diabolique, les mondes intérieur et extérieur…
Le défi de la résidence à la Villa Gillet est pour moi de transposer mon travail imprimé sur les vitres de la Villa dans un nouveau montage. Il est aussi de recomposer un nouveau récit qui traverse et mélange différentes œuvres avec des fragments d’images et de textes de mes divers travaux, y compris celui en cours La sieste du matin. Il est aussi dans la reproduction des images et textes sur une surface transparente et donc visible aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur. L’espace induit une lecture différente de celle du livre. Une lecture qui se fait des deux côtés, en tournant la tête plutôt que les pages, dans tous les sens possibles et selon des lignes suggérées ou aléatoires…
L’image principale à partir de laquelle je voudrais composer est celle d’un personnage nu couché sur le sol. C’est un extrait de mon livre en cours La sieste du matin. Un texte accompagne cette image : « Sur la route, je suis passée à côté d’un Hammam. J’ai vu un homme couché sur le sol. Il dormait paisiblement. L’eau coulait en dessous de lui… ». Cette image représente une forme d’aboutissement et une paix qui résulte de la conjonction des opposés. »