Après avoir étudié la botanique en parallèle de la philosophie médiévale, le philosophe italien Emanuele Coccia a élargi ses recherches au domaine du vivant. Dans La vie sensible (Payot et Rivages, 2010) par exemple, il propose au lecteur de se reconnecter à sa sensibilité pour mieux s’ouvrir à ce et ceux qui l’entourent. Cette proposition va un degré plus loin dans La vie des plantes. Une métaphysique du mélange (Payot et Rivages, 2016), où il tente d’adopter le point de vue des végétaux pour poser sur le monde un regard neuf, brut, capable de comprendre l’enchevêtrement du vivant. Métamorphoses (Payot et Rivages, 2020) prolonge cette compréhension en réfléchissant aux infinies mutations des êtres vivants et des minéraux qui se mêlent, fusionnent, évoluent ensemble. Enseignant actuellement à l’EHESS, Emanuele Coccia est passé par des universités allemandes, japonaises, argentines et états-uniennes pour partager sa conception dynamique du vivant – avant de venir nous la livrer à la Villa Gillet.
Après avoir étudié la botanique en parallèle de la philosophie médiévale, le philosophe italien Emanuele Coccia a élargi ses recherches au domaine du vivant. Dans La vie sensible (Payot et Rivages, 2010) par exemple, il propose au lecteur de se reconnecter à sa sensibilité pour mieux s’ouvrir à ce et ceux qui l’entourent. Cette proposition va un degré plus loin dans La vie des plantes. Une métaphysique du mélange (Payot et Rivages, 2016), où il tente d’adopter le point de vue des végétaux pour poser sur le monde un regard neuf, brut, capable de comprendre l’enchevêtrement du vivant. Métamorphoses (Payot et Rivages, 2020) prolonge cette compréhension en réfléchissant aux infinies mutations des êtres vivants et des minéraux qui se mêlent, fusionnent, évoluent ensemble. Enseignant actuellement à l’EHESS, Emanuele Coccia est passé par des universités allemandes, japonaises, argentines et états-uniennes pour partager sa conception dynamique du vivant – avant de venir nous la livrer à la Villa Gillet.