Ecaterina Vidick est auteure et réalisatrice de documentaires sonores. Elle vit et travaille à Bruxelles où elle a étudié la mise en scène à l’INSAS. Elle axe son travail sur les cadres sociaux quotidiens qui régissent la complexité de l’être humain et s’interroge sur la manière dont le son peut en délivrer une forme réfléchie et poétique. Dans ses créations, elle recherche autre chose que le son lui–même ou la parole seule et tente de révéler une dimension parallèle ; sortes de traces invisibles d’un espace fragile et ténu entre l’un et l’autre. Elle réalise J’ai une douleur quelque part…, son premier documentaire, en 2004, à l’accueil des urgences d’un hôpital bruxellois situé au cœur des Marolles, où indigent.e.s et étranger.e.s cherchent autre chose que des soins. En 2009, en collaboration avec son frère, Nicolas Sherban Vidick, photographe et musicien, elle signe Dragalina, un documentaire cinématographique. Ensemble, iels partent à la rencontre de leur cousin de 17 ans, resté dans leur village d’origine, dans la plaine du Danube roumain. Ecaterina retourne vers le son avec Traces (2009),un documentaire sur des ateliers de rap et de slam en prison, initiés et donnés par Maky, rappeur bruxellois. Elle se dirige ensuite vers des récits plus intimistes et des univers sonores imaginaires autour de l’insomnie avec L’heure bleue (2009), un documentaire pour lequel elle collabore avec les musiciens Daniel Perez Hajdu et Nicolas Sherban Vidick.
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Ecaterina Vidick est auteure et réalisatrice de documentaires sonores. Elle vit et travaille à Bruxelles où elle a étudié la mise en scène à l’INSAS. Elle axe son travail sur les cadres sociaux quotidiens qui régissent la complexité de l’être humain et s’interroge sur la manière dont le son peut en délivrer une forme réfléchie et poétique. Dans ses créations, elle recherche autre chose que le son lui–même ou la parole seule et tente de révéler une dimension parallèle ; sortes de traces invisibles d’un espace fragile et ténu entre l’un et l’autre. Elle réalise J’ai une douleur quelque part…, son premier documentaire, en 2004, à l’accueil des urgences d’un hôpital bruxellois situé au cœur des Marolles, où indigent.e.s et étranger.e.s cherchent autre chose que des soins. En 2009, en collaboration avec son frère, Nicolas Sherban Vidick, photographe et musicien, elle signe Dragalina, un documentaire cinématographique. Ensemble, iels partent à la rencontre de leur cousin de 17 ans, resté dans leur village d’origine, dans la plaine du Danube roumain. Ecaterina retourne vers le son avec Traces (2009),un documentaire sur des ateliers de rap et de slam en prison, initiés et donnés par Maky, rappeur bruxellois. Elle se dirige ensuite vers des récits plus intimistes et des univers sonores imaginaires autour de l’insomnie avec L’heure bleue (2009), un documentaire pour lequel elle collabore avec les musiciens Daniel Perez Hajdu et Nicolas Sherban Vidick.