Camille de Toledo est écrivain, docteur en littérature comparée. Il enseigne à l’Atelier des écritures contemporaines de l’ENSAV (La Cambre), à Bruxelles. Lauréat de la Villa Médicis en 2004, il publie son premier roman L’Inversion de Hieronymus Bosch en 2005 (Verticales), suivi par Vies et mort d’un terroriste américain (Verticales, 2007). En 2008, il fonde la Société européenne des auteurs pour promouvoir « la traduction comme langue ». En 2012, il part vivre à Berlin avec ses trois enfants après la mort de son frère, de sa mère et de son père.
Camille de Toledo est également l’auteur des ouvrages Vies pøtentielles (Seuil, 2011), Oublier, trahir, puis disparaître (Seuil, 2014) et Le livre de la faim et de la soif (Gallimard, 2017). Lauréate de la Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature en 2019, il sort Thésée, sa vie nouvelle en 2020 (Verdier), roman pour lequel il reçoit le Prix Hessel. Avec l’illustrateur Alexander Pavlenko, Toledo publie le roman graphique Le Fantôme d’Odessa en 2021 (Denoël Graphic) ; leur deuxième œuvre après Herzl. Une histoire européenne, paru en 2018 (Denoël Graphic).
Il écrit également pour l’opéra, La Chute de Fukuyama (2013) et pour le théâtre, Sur une île sur la tragédie d’Utøya, ou le diptyque PRLMNT sur la chute de l’Union européenne et la recomposition politique grâce à des institutions inter-espèces, où les milieux, les écosystèmes seront reconnus comme sujets de droit.
Et si, dans un train fantôme, un vieil homme et un enfant cherchaient à relier le passé et l’avenir…
Camille de Toledo signe ici le troisième volet d’une « trilogie européenne ». Après Le Hêtre et le Bouleau, à la suite de Vies pøtentielles, Oublier, trahir, puis disparaître explore, entre conte et récit mythologique, le temps européen, à la charnière du xxe et du xxie siècle, à l’heure où se pose la question de l’oubli et de la trahison...Camille de Toledo est écrivain, docteur en littérature comparée. Il enseigne à l’Atelier des écritures contemporaines de l’ENSAV (La Cambre), à Bruxelles. Lauréat de la Villa Médicis en 2004, il publie son premier roman L’Inversion de Hieronymus Bosch en 2005 (Verticales), suivi par Vies et mort d’un terroriste américain (Verticales, 2007). En 2008, il fonde la Société européenne des auteurs pour promouvoir « la traduction comme langue ». En 2012, il part vivre à Berlin avec ses trois enfants après la mort de son frère, de sa mère et de son père.
Camille de Toledo est également l’auteur des ouvrages Vies pøtentielles (Seuil, 2011), Oublier, trahir, puis disparaître (Seuil, 2014) et Le livre de la faim et de la soif (Gallimard, 2017). Lauréate de la Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature en 2019, il sort Thésée, sa vie nouvelle en 2020 (Verdier), roman pour lequel il reçoit le Prix Hessel. Avec l’illustrateur Alexander Pavlenko, Toledo publie le roman graphique Le Fantôme d’Odessa en 2021 (Denoël Graphic) ; leur deuxième œuvre après Herzl. Une histoire européenne, paru en 2018 (Denoël Graphic).
Il écrit également pour l’opéra, La Chute de Fukuyama (2013) et pour le théâtre, Sur une île sur la tragédie d’Utøya, ou le diptyque PRLMNT sur la chute de l’Union européenne et la recomposition politique grâce à des institutions inter-espèces, où les milieux, les écosystèmes seront reconnus comme sujets de droit.
Et si, dans un train fantôme, un vieil homme et un enfant cherchaient à relier le passé et l’avenir…
Camille de Toledo signe ici le troisième volet d’une « trilogie européenne ». Après Le Hêtre et le Bouleau, à la suite de Vies pøtentielles, Oublier, trahir, puis disparaître explore, entre conte et récit mythologique, le temps européen, à la charnière du xxe et du xxie siècle, à l’heure où se pose la question de l’oubli et de la trahison...