- Performance
Né en 1984 à Nevers (France), Armand Morin vit et travaille à Bruxelles (Belgique).
« J’ai étudié les Beaux–Arts à Nantes (DNSEP en 2007). J’ai ensuite profité d’une bourse post–diplôme de cette même école pour séjourner un an à Miami. En 2009, j’ai été lauréat du Prix des Arts Plastiques de la ville de Nantes. Fin 2010,j’ai intégré le Fresnoy à Tourcoing et réalisé Opa–Locka will be beautiful, un “conte documentaire”, sur une banlieue de Miami construite dans un style orientaliste. J’y ai aussi créé Panorama 14, un diorama plongé dans une véritable tempête de sable, montré au Palais de Tokyo en 2017. En 2014, pour le Festival Hors–Pistes au Centre Pompidou, j’ai proposé La dérive des documents,une conférence performée autour de sources documentaires. La suite de ce projet a été montrée à la fondation Ricard. Entre 2014 et 2016, j’ai réalisé plusieurs mises en scènes immersives pour des expositions personnelles. En 2015,j’ai participé à deux résidences, Fieldwork à Marfa (Texas) et au centre archéologique de Bibracte pour réaliser la vidéo The Promised Lawn (2016), qui aborde des thématiques écologiques et économiques que l’on retrouve régulièrement dans mon travail depuis. En 2019, j’ai réalisé la vidéo Les Oiseaux, qui poursuit sur le mode du récit anticipatif des interrogations sur le devenir de l’espèce humaine sur une planète surexploitée. Depuis 2020, je travaille à de nouvelles vidéos tournées dans des paysages façonnés par les activités d’extraction ».
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Né en 1984 à Nevers (France), Armand Morin vit et travaille à Bruxelles (Belgique).
« J’ai étudié les Beaux–Arts à Nantes (DNSEP en 2007). J’ai ensuite profité d’une bourse post–diplôme de cette même école pour séjourner un an à Miami. En 2009, j’ai été lauréat du Prix des Arts Plastiques de la ville de Nantes. Fin 2010,j’ai intégré le Fresnoy à Tourcoing et réalisé Opa–Locka will be beautiful, un “conte documentaire”, sur une banlieue de Miami construite dans un style orientaliste. J’y ai aussi créé Panorama 14, un diorama plongé dans une véritable tempête de sable, montré au Palais de Tokyo en 2017. En 2014, pour le Festival Hors–Pistes au Centre Pompidou, j’ai proposé La dérive des documents,une conférence performée autour de sources documentaires. La suite de ce projet a été montrée à la fondation Ricard. Entre 2014 et 2016, j’ai réalisé plusieurs mises en scènes immersives pour des expositions personnelles. En 2015,j’ai participé à deux résidences, Fieldwork à Marfa (Texas) et au centre archéologique de Bibracte pour réaliser la vidéo The Promised Lawn (2016), qui aborde des thématiques écologiques et économiques que l’on retrouve régulièrement dans mon travail depuis. En 2019, j’ai réalisé la vidéo Les Oiseaux, qui poursuit sur le mode du récit anticipatif des interrogations sur le devenir de l’espèce humaine sur une planète surexploitée. Depuis 2020, je travaille à de nouvelles vidéos tournées dans des paysages façonnés par les activités d’extraction ».