Du 3 au 22 février, le poète et auteur Jean-Luc Raharimanana investi la Villa Gillet pour une résidence d’écriture.
Initié par les Ateliers Frappaz, Centre national des arts de la rue et de l’espace public situé à Villeurbanne, cette commande d’écriture s’inscrit dans le projet “Faire émerger des textes pour la rue”. Cette résidence, soutenue par le Centre national du livre, confie la création d’une pièce de théâtre de rue à l’auteur. La Villa Gillet met à disposition ses espaces, son théâtre et ses salons pour donner vie à cette création transdisciplinaire qui fera l’objet d’une restitution publique, le 20 février, à 15h30, au Théâtre de l’Iris.
« Tenir sur les mots, tenir sur le beau. Tenir sur le sens et détraquer les sens. Grincer des cordes, caresser la voix. Hurler sur les murmures des feuilles mortes de tant de pénurie d’encre et d’horizon. Sciures de la gorge, la voix, le dit, le partagé ». — Jean-Luc Raharimanana
Du 3 au 22 février, le poète et auteur Jean-Luc Raharimanana investi la Villa Gillet pour une résidence d’écriture.
Initié par les Ateliers Frappaz, Centre national des arts de la rue et de l’espace public situé à Villeurbanne, cette commande d’écriture s’inscrit dans le projet “Faire émerger des textes pour la rue”. Cette résidence, soutenue par le Centre national du livre, confie la création d’une pièce de théâtre de rue à l’auteur. La Villa Gillet met à disposition ses espaces, son théâtre et ses salons pour donner vie à cette création transdisciplinaire qui fera l’objet d’une restitution publique, le 20 février, à 15h30, au Théâtre de l’Iris.
« Tenir sur les mots, tenir sur le beau. Tenir sur le sens et détraquer les sens. Grincer des cordes, caresser la voix. Hurler sur les murmures des feuilles mortes de tant de pénurie d’encre et d’horizon. Sciures de la gorge, la voix, le dit, le partagé ». — Jean-Luc Raharimanana