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Ève Guerra à l’Ambassade de l’utopie à Québec

Dans le cadre du festival Québec en toutes lettres, la Villa Gillet a accompagné la participation de l’écrivaine lyonnaise Ève Guerra à l’Ambassade de l’utopie, un projet porté par le réseau des villes créatives de l’UNESCO pour la littérature. Cette collaboration entre Lyon et Québec, toutes deux membres du réseau, illustre la vitalité des échanges entre scènes littéraires internationales et l’attention portée à l’émergence de nouvelles voix.

Organisé à la Maison de la littérature de Québec le 22 octobre 2025, l’événement rassemblait une trentaine d’artistes, d’écrivains, de chercheurs et de citoyens autour du thème « L’autre qui bat en nous », inspiré de Denise Desautels. L’Ambassade de l’utopie, imaginée en 2023 à Tartu par les artistes Jan Teevet et Oliver Issak et reprise depuis par plusieurs festivals de littérature, est conçue comme un forum ouvert où se croisent performances poétiques, lectures, réflexions scientifiques et interventions participatives. L’édition québécoise, animée par la poétesse Vanessa Bell, proposait une soirée de lectures, de chants et de performances, entre poésie, art vivant et recherche.

Ève Guerra a pris part à cette soirée collective qu’elle décrit comme « un moment d’une grande convivialité, où l’art s’inscrit au cœur de la cité ». Elle a salué « la variété des formes d’expression – du chant à la poésie, des extraits de thèse aux textes littéraires – qui faisaient de cette ambassade un espace vivant et inclusif ».

Née de parents congolais et italiens, Ève Guerra a grandi au Congo-Brazzaville avant de rejoindre la France à la suite de la guerre civile de 1998-1999. Enseignante de lettres classiques, chroniqueuse pour Lire et poétesse, elle a publié en 2024 son premier roman, Rapatriement (Grasset), récompensé par le Prix Goncourt du premier roman et le Prix Transfuge du meilleur premier roman français. Ce texte sensible et politique retrace une enquête familiale où se mêlent exil, mémoire et transmission.

En accompagnant la participation d’Ève Guerra à Québec en toutes lettres, la Villa Gillet poursuit sa mission d’ouverture et de dialogue : faire émerger de nouvelles figures littéraires et favoriser la rencontre entre les écritures et les publics, à Lyon comme à l’international.

 

En partenariat avec la Maison de la littérature / festival Québec en toutes lettres et l’Institut canadien de Québec.

  • Saison 2025/2026

Ève Guerra à l’Ambassade de l’utopie à Québec

Dans le cadre du festival Québec en toutes lettres, la Villa Gillet a accompagné la participation de l’écrivaine lyonnaise Ève Guerra à l’Ambassade de l’utopie, un projet porté par le réseau des villes créatives de l’UNESCO pour la littérature. Cette collaboration entre Lyon et Québec, toutes deux membres du réseau, illustre la vitalité des échanges entre scènes littéraires internationales et l’attention portée à l’émergence de nouvelles voix.

Organisé à la Maison de la littérature de Québec le 22 octobre 2025, l’événement rassemblait une trentaine d’artistes, d’écrivains, de chercheurs et de citoyens autour du thème « L’autre qui bat en nous », inspiré de Denise Desautels. L’Ambassade de l’utopie, imaginée en 2023 à Tartu par les artistes Jan Teevet et Oliver Issak et reprise depuis par plusieurs festivals de littérature, est conçue comme un forum ouvert où se croisent performances poétiques, lectures, réflexions scientifiques et interventions participatives. L’édition québécoise, animée par la poétesse Vanessa Bell, proposait une soirée de lectures, de chants et de performances, entre poésie, art vivant et recherche.

Ève Guerra a pris part à cette soirée collective qu’elle décrit comme « un moment d’une grande convivialité, où l’art s’inscrit au cœur de la cité ». Elle a salué « la variété des formes d’expression – du chant à la poésie, des extraits de thèse aux textes littéraires – qui faisaient de cette ambassade un espace vivant et inclusif ».

Née de parents congolais et italiens, Ève Guerra a grandi au Congo-Brazzaville avant de rejoindre la France à la suite de la guerre civile de 1998-1999. Enseignante de lettres classiques, chroniqueuse pour Lire et poétesse, elle a publié en 2024 son premier roman, Rapatriement (Grasset), récompensé par le Prix Goncourt du premier roman et le Prix Transfuge du meilleur premier roman français. Ce texte sensible et politique retrace une enquête familiale où se mêlent exil, mémoire et transmission.

En accompagnant la participation d’Ève Guerra à Québec en toutes lettres, la Villa Gillet poursuit sa mission d’ouverture et de dialogue : faire émerger de nouvelles figures littéraires et favoriser la rencontre entre les écritures et les publics, à Lyon comme à l’international.

 

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