Mardi 21 mai 2024 — 19h — Villa Gillet
En ouverture du festival, un dialogue autour de ce que peut l’écriture, comme outil de résistance à la violence, comme expérience de l’empathie, comme possibilité de comprendre le monde. Colum McCann, grande plume irlandaise, auteur d’Apeirogon (Belfond, 2020, trad. Clément Baude), histoire d’amitié au cœur du conflit israélo-palestinien, auteur en 2024 d’American mother (Belfond, trad. Clément Baude), récit écrit du point de vue de Diane Foley, la mère du journaliste américain James Foley assassiné en 2014 en Syrie. Olesya Khromeychuk, historienne et écrivaine, dans La mort d’un frère (Seuil, 2023, trad. Cécile Deniard) raconte la perte de son frère engagé dans l’armée ukrainienne. L’écriture permet-elle d’échapper aux démons du chagrin, de la rancune, de la peur ?
Interprétariat : Dawn Sheridan et Sara Green
Olesya Khromeychuk : “Nous pouvons servir de témoin et une fois qu’on l’est, on doit s’en servir pour en faire quelque chose”
Colum McCann : “Je pense réellement qu’il faut continuer de raconter l’histoire, est-ce que je changerais un mot de ce que j’ai écrit dans ce livre à cause de ce qu’il s’est passé ? Non nullement, je ne changerais rien.”
Colum McCann : “C’est là que la littérature a un travail à faire, je suis convaincu que la littérature ne doit pas nous dire ce que nous devons penser mais la littérature doit nous permettre de ressentir des émotions nouvelles.”
Mardi 21 mai 2024 — 19h — Villa Gillet
En ouverture du festival, un dialogue autour de ce que peut l’écriture, comme outil de résistance à la violence, comme expérience de l’empathie, comme possibilité de comprendre le monde. Colum McCann, grande plume irlandaise, auteur d’Apeirogon (Belfond, 2020, trad. Clément Baude), histoire d’amitié au cœur du conflit israélo-palestinien, auteur en 2024 d’American mother (Belfond, trad. Clément Baude), récit écrit du point de vue de Diane Foley, la mère du journaliste américain James Foley assassiné en 2014 en Syrie. Olesya Khromeychuk, historienne et écrivaine, dans La mort d’un frère (Seuil, 2023, trad. Cécile Deniard) raconte la perte de son frère engagé dans l’armée ukrainienne. L’écriture permet-elle d’échapper aux démons du chagrin, de la rancune, de la peur ?
Interprétariat : Dawn Sheridan et Sara Green
Olesya Khromeychuk : “Nous pouvons servir de témoin et une fois qu’on l’est, on doit s’en servir pour en faire quelque chose”
Colum McCann : “Je pense réellement qu’il faut continuer de raconter l’histoire, est-ce que je changerais un mot de ce que j’ai écrit dans ce livre à cause de ce qu’il s’est passé ? Non nullement, je ne changerais rien.”
Colum McCann : “C’est là que la littérature a un travail à faire, je suis convaincu que la littérature ne doit pas nous dire ce que nous devons penser mais la littérature doit nous permettre de ressentir des émotions nouvelles.”