Lycée
Dans le cadre du projet Atelier des Récits, une classe de seconde et une classe de première du lycée la Martinière Diderot à Lyon ont lu CHALLAH LA DANSE, le premier roman de Dalya Daoud, et ont créé une chronique, une biographie et une illustration, parues dans ATELIER DES RÉCITS, le magazine du festival Littérature Live (du 19 au 25 mai) que vous pouvez trouver un peu partout lors des rencontres de la Villa Gillet.
Ci-dessous, vous pouvez découvrir leur travail :
Savez-vous que la danse transmet une joie profonde et une soif de liberté ? Dans Challah la danse, Dalya Daoud nous plonge au cœur d’un lotissement d’ouvriers multiculturel, où se croisent des destins ordinaires et profondément humains. Ici, tout le monde se connaît, se regarde, se juge aussi, parfois, souvent. Les rumeurs circulent plus vite que le vent, les rêves se heurtent aux fines cloisons des maisons et les désirs d’ailleurs demeurent bloqués dans ce quartier qui, malgré tout, reste un foyer. Au centre de cette micro-société, il y a Lalla l’Algérienne, qui danse comme si sa vie en dépendait. Lalla qui ne se soucie pas des regards et laisse son corps parler quand les mots sont impuissants. Il y a aussi Bassou, son fils, que l’on suit de l’enfance à l’âge adulte, un garçon pris entre deux mondes, le sien et celui de Julien, son ami d’enfance qui n’en sera plus un. Autour d’eux, il y a le quartier, ses bruits familiers, ses odeurs de cuisine, ses disputes de voisins, ses rires d’enfants. Il y a ceux qui veulent partir, ceux qui restent par habitude, ceux qui rêvent sans jamais oser. Il y a les traditions qui pèsent, les pressions sociales et le chômage. Chacun avance sur un fil, entre envie d’émancipation et peur du vide. Par de courts chapitres alternant personnages, temps et lieux, l’autrice nous projette au cœur d’une fresque sociale aux portes de Lyon. Un récit d’amitié, de désir, de renoncements, de choix impossibles où la violence n’est jamais très loin.
Illustration_Dalya Daoud par Iris, élève du Lycée la Martinière-Diderot
Les lycéen.ne.s ont pu échanger avec Dalya Daoud lors d’une rencontre à la bibliothèque du 1er de Lyon, ce mardi 20 mai, dans le cadre du festival Littérature Live.
© 2023 Villa-Voice Partenaires Mentions légales
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Dans le cadre du projet Atelier des Récits, une classe de seconde et une classe de première du lycée la Martinière Diderot à Lyon ont lu CHALLAH LA DANSE, le premier roman de Dalya Daoud, et ont créé une chronique, une biographie et une illustration, parues dans ATELIER DES RÉCITS, le magazine du festival Littérature Live (du 19 au 25 mai) que vous pouvez trouver un peu partout lors des rencontres de la Villa Gillet.
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Savez-vous que la danse transmet une joie profonde et une soif de liberté ? Dans Challah la danse, Dalya Daoud nous plonge au cœur d’un lotissement d’ouvriers multiculturel, où se croisent des destins ordinaires et profondément humains. Ici, tout le monde se connaît, se regarde, se juge aussi, parfois, souvent. Les rumeurs circulent plus vite que le vent, les rêves se heurtent aux fines cloisons des maisons et les désirs d’ailleurs demeurent bloqués dans ce quartier qui, malgré tout, reste un foyer. Au centre de cette micro-société, il y a Lalla l’Algérienne, qui danse comme si sa vie en dépendait. Lalla qui ne se soucie pas des regards et laisse son corps parler quand les mots sont impuissants. Il y a aussi Bassou, son fils, que l’on suit de l’enfance à l’âge adulte, un garçon pris entre deux mondes, le sien et celui de Julien, son ami d’enfance qui n’en sera plus un. Autour d’eux, il y a le quartier, ses bruits familiers, ses odeurs de cuisine, ses disputes de voisins, ses rires d’enfants. Il y a ceux qui veulent partir, ceux qui restent par habitude, ceux qui rêvent sans jamais oser. Il y a les traditions qui pèsent, les pressions sociales et le chômage. Chacun avance sur un fil, entre envie d’émancipation et peur du vide. Par de courts chapitres alternant personnages, temps et lieux, l’autrice nous projette au cœur d’une fresque sociale aux portes de Lyon. Un récit d’amitié, de désir, de renoncements, de choix impossibles où la violence n’est jamais très loin.
Illustration_Dalya Daoud par Iris, élève du Lycée la Martinière-Diderot
Les lycéen.ne.s ont pu échanger avec Dalya Daoud lors d’une rencontre à la bibliothèque du 1er de Lyon, ce mardi 20 mai, dans le cadre du festival Littérature Live.
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